C’est la réflexion que je me faisais en écoutant l’interview de Frédéric Lefebvre par Jean-Michel Apathie sur RTL. Monsieur Lefebvre n’a décidément peur de rien, et je crois même pouvoir penser qu’il ne tourne pas sept fois la langue dans sa bouche avant de parler, tant ses propos sont -à mes yeux- propres à la critique.
Mais, que dis-je, que-fais-je : en parlant de lui, je me permet de lui donner un quelconque crédit, ce qui est déjà trop.